Zone de contrôle

Pour 1 pion = 100-200 hommes, 1hex = 100m, et à la période médiévale, pourquoi faire apparaître une ZdC, elle simule quoi ?
A quoi correspond une zone de contrôle au Myen-Age ?

Deux choses :

1. La capacité à projeter une menace dans l'hex, à travers une capacité de tir, de harcèlement ou de charge.

2. Une proximité suffisamment grande pour que l'ennemi ressente l'imminence d'un engagement au choc... ce que reflète par exemple Jours de Gloire à travers un test d'engagement ( commitment dans la version originale )

Pour cette capacité de projection des menaces je suis d'accord ; on s'arrête et on fait face à l'ennemi pas loin.
Mais quelques questions :
1. et si certains veulent continuer vers la cible de départ et ignorer cette menace ?
2. pourquoi faire une règles recul en ZdC = perte ou éliminétion ?
3. en cas d'empilement, seul le premier pion est concerné par la ZdC puisque les autres sont censés être derrière...en fait à la rigueur ils peuvent suivrent un attaquent, mais ne voient rien...?

1. Difficile de défiler devant un ennemi en l'ignorant...

2. Pourquoi en effet ? Rien ne l'oblige vraiment...

3. Attitude typique des formations profondes : ça pousse de derrière sans vraiment savoir ce qui se passe devant...en même temps, ce sont ces rangs arrières qui se débandent souvent les premiers quand ils sentent que ça tourne mal.

Bon j'aime bien tes réponses, car à part au niveau opérationnel et stratégique, jusqu'à la 1reGM je comprends de moins en moins cette complication croissante des règles de ZdC.

Allalalai a écrit:Pour cette capacité de projection des menaces je suis d'accord ; on s'arrête et on fait face à l'ennemi pas loin.
Mais quelques questions :
1. et si certains veulent continuer vers la cible de départ et ignorer cette menace ?
2. pourquoi faire une règles recul en ZdC = perte ou éliminétion ?
3. en cas d'empilement, seul le premier pion est concerné par la ZdC puisque les autres sont censés être derrière...en fait à la rigueur ils peuvent suivrent un attaquent, mais ne voient rien...?

1. pareil qu'au dessus
2. pasque c'est pas facile de reculer sous la pression d'un ennemis et d'en avoir un autre dnas le dos qui menace, tout en gardant une unité en organisation capable de combattre. tu as la majorité de ton effectif qui va prendre la poudre d'escampette. ne pas oublier que les pertes ne sont pas forcément des morts mais aussi une perte de cohesion d'une unité qui ne la rend plus capable de combattre, la détruisant virtuellement.
3. pourquoi seraient ils derrière? pourquoi pas a coté. ya peu de chance qu'ils soient derriere si ils participent au combat. c'est dur de jouer avec son épée a 50m d'un ennemis

En clair vaut mieux aborder ça sous l'angle de la perte de capacité de combat que sous celui de la destruction physique.

Allalalai a écrit:En clair vaut mieux aborder ça sous l'angle de la perte de capacité de combat que sous celui de la destruction physique.

c'est aussi le cas pour le combat moderne de toute façon. Sinon c'est plus un combat, c'est un massacre
regarde mon CR sur fallschirmjaeger, si tous les pions qui disparaissent sont des morts, je te dis pas . Ils cessent d'exister en tant qu'unité constituée mais tous le monde n'est pas mort ou blessé pour autant.
d'ailleurs ils ont prévu le cas puisque les chefs peuvent recreer des unitées avec les fuyars (student) ou en remettre d'autre a plein (sponeck et winkelman)
de même, prend marignan, ce qui importe c'est quand l'unité n'est plus apte à soutenir un combat (charge pour les gendarmes, phalange pour les suisses, ....). Si elle est de façon anarchique elle n'est plus utilisable. Une partie des hommes sera récuperé après la bataille, mais pour le cours de la bataille ils ne sont plus disponible et n'ont plus de raison d'apparaitre sur un pion si la bataille est simulée.

A l'époque dont tu parles Olala, la plupart des tués le sont dans la poursuite... d'où les énormes différences entre pertes du vaincu et celles du vainqueur